Des algorithmes… des mises à jour… les techniques SEO voguent sur un fleuve bien agité, incarné par Google. Qui d’autre ? Dans quelques jours ou semaines, le trafic de votre site va commencer à tanguer, sous le poids de la nouvelle mise à jour Mobile Friendly. Avez-vous préparé vos bouées de sauvetage ?
L’impact de Google Mobile Friendly
La toute nouvelle mise à jour de Google Mobile Friendly débarque très bientôt. Si vous n’avez pas encore travaillé votre version mobile, il n’est peut-être pas trop tard… mais presque. Comme toujours, les algorithmes Google qui influencent le classement d’un site dans les SERP, obligent les webmasters à retrouver le droit chemin : celui du web agréable, loin du spam et des sites peu ergonomiques.
Avec Mobile Friendly 2016, l’impact devrait être similaire à 2015, avec des règles très proches mais un peu plus exigeantes : si vous n’avez pas amélioré votre interface pour smartphone depuis l’année dernière, votre site va donc encore baisser !
Optimisez votre site mobile !
Si vous êtes près à relever le défi avant la mise à jour de Google Mobile Friendly, alors voici quelques recommandations pour éviter tout naufrage :
- un design compatible : quelle que soit votre méthode (le responsive design étant le plus courant), vous devez rendre toutes les pages de votre site mobile faciles à parcourir :
- images qui s’adaptent à l’écran
- boutons et liens facilement cliquables
- possibilité de naviguer vers les autres catégories et pages du site
- allégez votre site mobile : parcouru grâce au réseau 4G (ou seulement 3G par endroit !), le site mobile ne doit pas être trop indigeste
- vérifiez l’avis de Google sur votre version mobile : c’est un peu comme demander à votre professeur la solution du problème qu’il vous demande de résoudre (fiable à 100% donc !).
Vous avez tout à gagner à suivre quelques conseils, avant le prochain SEO Séisme. Cette évolution d’autre part, n’a que des avantages, puisque le smartphone tend à détrôner l’ordinateur. Sur certains types de sites, le mobile est le support numérique depuis lequel on consulte le plus de pages web.